Sénopôle Territoire Cancer Nord 
Centre des Maladies du Sein

Une équipe de professionnels au service du patient

Les équipes à votre service

Le Centre des Maladies du Sein
Dr Stéphanie Bécourt Dr Sylvie Bonfils Dr Edwige Bourstyn
Dr Patrick Charveriat Dr Caroline Cuvier Dr Marc espié
Dr Mata Fafouti
Dr Mata Fafouti (Psychiatre) Dr Sylvie Giacchetti Dr Hamid HOCINI
Dr Ioanna Kloos Dr Florence Ledoux Dr Caroline Leroux  

Dr Jean-François Llory

Dr Olivia Nguyen Dr Luis Teixeira
   
Psychologues
 
L_locatelli
Dalila Cano (Psychologue)

Kheira Mebrak (Psychologue)

Lisa LOCATELLI (Psychologue)
   

Laetitia SURON (assistante sociale)

 

 
   
Chef de pôle Pierre Fenaux   Cadre de Santé Catherine de MACEDO
 
Accueil
Béatrice Mazierro Hawa Dial  Emerence Massamda

 

   
 
Mickaël Piram  
   
Secrétaires Médicales
   

Corinne Gauthier

Sandrine Palin Carole Morganti-Beaumont
     
Assistantes de consultation
 
Carmen CALZADA (accueil)  

Sabrine KAKOUCHE

Marie-Noelle JOLLY
 
     
Eliane VALLIER      
 
Infirmières d’annonce et de coordination
 
Stéphanie PINEAU   Nadja SONDARJEE
   

Hôpital de jour

Dr Stéphanie Bécourt Infirmier Arnaud DUGUE Infirmière Sylvie DOS SANTOS
 
InfirmièreDjalika TRAORE

Aide soignante Togoddel SOW

 
 
Recherche clinique
Laetitia SOMEIL  
Anatomo-Pathologie

 

L'Anatomie Pathologique

étudie les altérations tissulaires ou lésions liées aux maladies.

Ces lésions sont visibles à l'œil nu (macroscopie) et/ou au microscope (histologie).
Le rôle de cette discipline peu connue du grand public est d'une importance capitale puisqu'elle étudie le diagnostic et le pronostic des maladies.

Le Dr Anne de ROQUANCOURT, entourée à sa droite par le Pr Philippe Bertheau et à sa gauche par une technicienne, le Docteur Roche puis 2 autres membres de l'équipe
Le Dr Anne de ROQUANCOURT avec à sa gauche le Pr Philippe Bertheau puis à l'extrème gauche le Docteur Roche
Chirurgie
Dr Edwige Bourstyn Dr jean Cahen Dr Laurence Cahen Doidy
   
Dr Hélène Corté Dr Eva marchand Dr Matthieu Mezzadri
   
 
Dr Henri Lorphelin  
Chirurgie plastique
Pr Maurice Mimoun
 

Service du Professeur Maurice Mimoun
Téléphone du service de chirurgie plastique :01 71 20 70 82 
ou   2 70 82 quand on appelle de l'intérieur de l’hôpital Saint Louis

La reconstruction mammaire à l’hôpital Saint-Louis est assurée par le service de Chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique. Les patientes sont prises en charge pour leur reconstruction dans le parcours de soins du Sénopôle. Elles peuvent voir les chirurgiens plasticiens à tout moment dès qu’elles se posent des questions sur les techniques ou les délais. Un rendez-vous leur sera donné.
L’activité de reconstruction mammaire est un pôle d’excellence du service. Des staffs réguliers de réflexion sur les traitements chirurgicaux des patients et de bibliographie sont régulièrement organisés.
Les domaines de compétence du service recouvrent toutes les techniques existantes de reconstruction du sein qu’ils s’agissent de microchirurgie comme les DIEP ou les greffes adipeuses en plein essor qui donnent souvent des résultats d’une qualité inégalée. L’énumération des techniques n’est pas exhaustive :

- Reconstruction par graisse adipeuse assistée ou pas par BRAVA
- Reconstruction par lambeau microchirurgical ou non
- Grand dorsal
- DIEP
- Autres lambeaux notamment les lambeaux perforants…
- Reconstruction prothétique
- Reconstruction par expandeur cutané
- Techniques associées
- Reconstruction de la plaque aréolomamelonnaire
- Symétrisation mammaire controlatérale

       
   
 
Pr Marc Chaouat   Dr Jean Masson Dr Philippe Binder
Onco-Génétique
   
Dr Odile COHEN-HAGUENAUER,
Onco-Généticienne
Dr Toledano  
Radiologie
 
Pr Cédric de Bazelaire  
Radiothérapie
 
Pr Christophe Hennequin Dr Sophie Guillerm  

La radiothérapie est un traitement adjuvant du cancer du sein, c’est à dire réalisée la plupart du temps après la chirurgie

1/  Après chirurgie conservatrice, elle est quasi-systématique, car elle permet de diminuer notablement le taux de récidive dans le sein. Il est habituel de délivrer 13 à 25 séances, en fonction des paramètres de la lésion traitée. Chaque séance dure une quinzaine de minutes, au rythme de 4 à 5 séances par semaine. Dans certains cas, une irradiation des aires ganglionnaires est associée à l’irradiation du sein, mais elle se fait lors de la même séance. On ajoute parfois une curiethérapie, trois semaines plus tard, réalisée sous anesthésie locale, qui permet de compléter la dose du lit tumoral dans la zone opérée.
Cette radiothérapie s’effectue avec le maximum de précision : elle débute par un repérage (simulation) par scanner qui va permettre de définir les faisceaux au mieux adaptés à votre anatomie et à votre tumeur. Un calcul par ordinateur va ensuite être réalisé (dosimétrie), permettant de délivrer effectivement la bonne dose aux zones nécessaires en protégeant au maximum les organes sensibles et, plus particulièrement ici, le poumon, et pour les seins gauches, le coeur. Environ 10 jours après le scanner, les séances vont débuter après une ultime vérification radiologique des faisceaux.
Les résultats sont excellents avec plus de 90 % de guérison locale et 85 % de bons résultats esthétiques sans séquelle.
2/  Après mastectomie, il est parfois nécessaire de compléter le geste chirurgical, en particulier sur les aires ganglionnaires. Habituellement, elle nécessite 13 séances, au rythme de 3 à 4 séances par semaine et nécessite la même procédure qu’après tumorectomie.
Là aussi, les contrôles locaux sont excellents dans 90 % des cas et sans séquelle.

 

Groupe de recherche translationnelle en oncologie
 
Le professeur Hugues de Thé   L. Teixeira, P. de Cremoux, M. Espié, J. Lehmann-Che
 

Groupe de recherche translationnelle en oncologie
(Translational cancer research group)

Patricia de CREMOUX & Jacqueline LEHMANN-CHE
Unité INSERM U944/CNRS UMR7212 (Pr H de Thé) Université Paris Diderot PRES Cité Paris Sorbonne

Il est clairement établi que les cancers du sein sont des tumeurs hétérogènes et actuellement, la prise en charge des malades atteinte d’adénocarcinome mammaire nécessite des thérapeutiques personnalisées. En continuité avec les travaux antérieurs, l’équipe cherche, tout d’abord, à individualiser des marqueurs précoces de réponse à la chimiothérapie néoadjuvante en associant des paramètres moléculaires à des marqueurs dynamiques du métabolisme intra tumoral. Ensuite, l'équipe cherche à comprendre la sensibilité ou résistance à la chimiothérapie dose-dense des patientes dont la tumeur présente une mutation de la P53. Nous explorons l’impact du type de mutation p53 ainsi que l’impact du statut du second allèle sur la réponse au traitement, à l’aide de modèles tumoraux isogéniques génétiquement modifiés pour p53. Enfin, dans le cadre des cancers du sein dépourvus de récepteurs d’estrogènes et de progestérone, connus pour être de mauvais pronostic, un nouveau sous-groupe appelé « moléculaire apocrine » a été individualisé et caractérisé par une activation de la voie du récepteur des androgènes. Notre objectif est de comprendre les bases moléculaires de l’activation de ces voies pour trouver une nouvelle cible thérapeutique dans ce sous type de tumeurs.

Médecine nucléaire
Dr David Groheux

Le service de Médecine Nucléaire

Le centre de médecine nucléaire permet d’effectuer différents examens utiles dans la prise en charge du cancer du sein, tels que :

La recherche du ganglion sentinelle
La technique du ganglion sentinelle est de plus en plus souvent utilisée. Elle permet l’exérèse d’un ou de quelques ganglions ciblés de l’aisselle, repéré(s) par une méthode isotopique. Son but est de permettre une analyse précise de l’aisselle tout en évitant d’effectuer un curage axillaire complet (résection d’un grand nombre de ganglions de l’aisselle). Il s'agit de repérer le ou les premier(s) ganglion(s) de la chaîne axillaire, ceux qui seront les premiers à être envahis par les cellules malignes, et de les enlever pour les examiner. Un véritable curage ne sera effectué que s'ils sont atteints. Cette technique n’est pas toujours indiquée.

La scintigraphie cardiaque
Cette technique permet de mesurer la fraction d’éjection du ventricule gauche (FEVG).
La FEVG est une mesure caractérisant la capacité du cœur à se contracter efficacement. Elle est utile avant d’initier et en surveillance de certains traitements connus pour présenter une toxicité cardiaque.

La scintigraphie osseuse
C’est une technique d’imagerie qui permet d’analyser l’ensemble du squelette. Elle est utilisée pour diagnostiquer et suivre l’évolution des métastases osseuses.

La TEP
La TEP (ou TEP-TDM ou TEP-Scan ou PET-Scan) est une technique d’imagerie médicale qui permet d’identifier la plupart des lésions cancéreuses, de faire un bilan d'extension de ces lésions et d'en évaluer la réponse au traitement.
Avant de passer une TEP, le patient doit être à jeun depuis 6 heures. Sa glycémie ne doit pas être trop élevée. Le patient reçoit une injection intraveineuse d’un produit légèrement radioactif qui est capté par les cellules cancéreuses (le FDG). Suite à l’injection du FDG, le patient doit rester au repos dans une salle du service de médecine nucléaire pendant environ 1 heure puis les images sont enregistrées sous la machine pendant une petite quinzaine de minutes. L’examen est ensuite analysé par un médecin spécialiste en médecine nucléaire et le résultat est adressé à l’oncologue.

 
TEP
 
Mise à jour : 30/03/18

Centre des Maladies du Sein - Hôpital Saint-Louis
1, avenue Claude Vellefaux
75475 PARIS cedex 10

Mentions légales - Centre des Maladies du Sein© 2009